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leurs données que sur des rapports vagues, ou qui, s'ile
tẽ moins beulaires, sont fortement suspeéects d'avoir ,
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chargsẽ
rovoquée peut étre par le mépris géné⸗
e ces tems accabloient tous les étrauger
Sers
sans en excepter les Greos. Il résulte de tout cela que, si dans la
donstitution civile et religieuse, dans les moeurs, les usages et les
doutumes des B
yptiens nous remarquons bien des choses dignes
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de blame, on ne peut cepondaut leur contester plusieurs institu⸗
ons utiles ot e⸗
n
eellentes, qui, ayant exercé sur la culture du genre
main une influence salutatre, méritent encore notrè reconnois⸗
dancs.
4.
Pai peu à ajouter à ce qui a été dit daus la période preoẽ·
dente sur la part que les Phéniciens ont eue aux progrès de la cul-⸗
tane; lenr histoire nous est aussi peu connue que leur constitution
Car quoiquꝰils aient eu, dès le tems dont il est question
le.
ãci — — — — t
»un historien nommé Sanchoniathon, e Postérreur Molse de
Peu d'
et 4— —Ei
eulement daus une traduction grecque, peut⸗ Etro inſidele.
Tout oe que nous savons, c'est que la côte de Syris et de Palestine,
donn
années, il ne nous resſste que des fragments de ses ouvrages,
ée nom dé Phénicie, étoit divisée en plusieurs po tits
ue sous]
tata monarchiques, que parmi ces états celui de Sidon écloit le
plu
s ancien, delui de Tyr le plus célebre.
I nous est cdependant paxvenu des notices plus exactes