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gerenses, parmi lesquellos celle d'Arminius ou Herrmann, priuce
des Chérusques, mꝰ a paru as84 remarquable, pour tre reprẽsentẽe
Par ane estampe (Tab. X. fig 35.) ce n'est pas que le triomphe des
Germaius ſit beaucoup d'honneur à Arminius, car il abusa de lami-
s du gẽénéral romain, Varus, qn'il attira par des promesses trom-
Pouses dans umn pioge: toute fois ilest sans exemple qu'une armée
romaine ait écé aussi complètemeſit exterminée et détruite, que celle
do Varus, qui essuya ume déſaite entieèxe en Westphalie dans les
onvixons de la ville de Horn d'aujourdhui.
2.
Dôs la ſin de la période précédente, et plus encôro au com-
mencement de celle-ci, les lumièeres de la raison dẽéveloppẽe écluirei⸗
vent toutes les idéog; mais en particulier celles de réligion, qui
avoient tant besoin de FPetre. Car le monde presque entier étoit
adonné à Fidoltrie la plus insensso, et, si loes hommes sages parmi
les Grecs ot les Romains se doutoient de cette absurdité du culte
public, cependant, leurs idées sur la divinité étant encore bien dé-
kedtueuses et denuées de fondements solides, elles ne pouvoient
Pas gorvir de base à une réforme totale, d'autant moins que l'ido-
atrie dans leurs nations respectives étoit plus intimement Lée à le
donstitution civile et politiqus.
Le Jadaſsme, il est vrai, étoit basé sur lidée purs d'um seul
etre immatériel; mais, comme éeotte notion étoit enveloppés de
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