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ot quoiqueo los ſciendes solides aient pris naissance en Grèce, elles
ny ont cependant pas eu toure linfluence qu'elles auroient pu avoir
A Rome au contraire on se vouoit avec plus d'ardeur aux sdionceſ
ues an caractére grave et sérieu
profondes, comme treès anat
Jes Romains, qui, saus les perfectionner oonsidén ablement, depen
En⸗
dant les répaudivent ot aggrandirent la sphere de leur activite.
n les lumidres de la raison et la philosophie du bon sens eurent
parmi les Romains une adtion et un jeu plus libres quo che- les
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Grecs. Le regne d'Auguste fut Page onon pas dse la cultu⸗
en genéral, qui, altérée et vicise dejũ par le luxe et la mollesse, uo
laissoit plus voir
ageo d'or des arts et ſsurtout des sciences, qui à cette ẽpoque atte
gnirent le plus h
par une pento rapide dans la décadence générale de⸗
que des restes épars dos antiques vertus — mais
aut point de perfection, et qui après ce regne fu⸗
rent entrainées
moeurs et de la consutution civile.
2.
Cepondant en tout tems et en tout liou la culture de Lesprit⸗
et en partioulier celle du goũt poli et adoucit les moeurs, aussi a-
eMe produit chez les Grecs et Romains cet effet sur tous les psuples
qui ont ets en relation, en contaoet avec les uns et les autres. Mais
comme cette infſuence est successivo et par conséquent insensible
valle
eut eUe ne se fait a ppercevoir qu'après un long inter
llo
que souv
* ——
leurs elle est partiale, et que, pour ainsi dire.
de toems, que d'ail
habitude et
ws pas de prĩse ziur dertains traits de barbarie, aux quels l'