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rent favorablement la philosophio grecque, surtout celle des Stoiĩ-
dĩens; ils envoydrent leur jeunesse, létudier Athenes; et co quã
eot plus, ils xopandirent un certain esprit de philosophie dans toutes
les classes dso la socisto, et cette direction des esprits préêta un fort
Ppui à la grande rövolution de la périodeo suivante.
Jusquꝰ ici la médéoineé, fondée sur un pur empiriamo, avoit
ẽtẽ entre les mains des pretres, et s'étoit exereée aveo une charlata-
nerie impudente, qui couvroit son ignorance du voilo mystorieux
de la vécligion. La philosophie décilla les yeux, ot apprit aux
hommes, quse ce n'est pas dans les tewmples que les mal
adies so gué-
tisgent,
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que ce ne sont pas les symptôõmes mais les causes, qui peu⸗
ent nous en faire juger sainement. Hippocrate surtout, qui vscut
ee van 3600, en alliant hereusement le raisonnement à Pex-
bẽrience, devint le premiéx médecin digne de de nom
konda P
bedi
e est lui qui
art salutaire de guérir sur Pobservation exactoe de la nature;
lee quꝰil avoit é6lévé fut consolidé par les reocherches anaton-
9 9— ĩ 1
ues dHérophile. Malleureusement aprèos lui on s'en tint
à des ob⸗
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ervatious,
sans les continuer et sans chercher à les rectiſter, jus⸗
que Galièên, dans la période suivante, donnât un nourel
RX * —
betude de la modeine
La physique et Phistoire naturelle furent purgẽées de quelques
bles, et réöduites en un certain ordre systẽmatiquo; maĩs comme
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mquoit de quelques expériences fondamentales et de quelques