tienlisx la philosophie; mais peu duüadividus en restorent depositai⸗ 
res; le gros de la nation mient aucune part a ces trésors, ainsi il 
wen put jamais réesulter un fonds commun de Lumièêres et din- 
Aruction. Aussi trouvons-nous chez les Grecs FPesclavage person 
nel, tout comme chez les peuples les plus barbares, car ils man- 
ipes justes sur la dignité et les 
quoient, commne çoux- ci, de prit 
droiis ipaßen bles de Phonmme r si le sort des esclaves Grecs a 
oͤts plus doux, au ons plus enpportable, que celui qui a accablo 
kes alleurenx prͤsque partout aulleuxs, dès Porigine des sociétés; 
est à d'autres causes, qui tiennent phirõôt au climat et à la constitu⸗ 
tion civile qu'àâ la morale publique, queil faut Patiribuer. Entin, 
daus contester aux Grecs la gloire du peuple le plus avancé dans la 
pocdietet dans les beaux arts, le plus distingué par le patriotisme et 
Pamour deée la Uberté peut⸗ ẽtre ausai le plus signale par la valeur, 
on sontiendra difficilement qu'ils atent été le plus juste, le plus 
* ⸗ 
ſenéroux, le plas entlousiasmé pour lintéréêt ſacrẽ de Phumanité 
2. 
Quoiqu il en soit, tout le monde civilise doit en grande 
partie ses lumidres au Lambeau de la culture grecque ee 
Gard on n'en sauroit assbe éxalter le mérite. II n'en est pas de 
môme de la culture des Romains, qui n'étoit qu'une foihle copie, 
unée ombre de éelle des Grecs. Les anciens Romains, incultes et 
barbares, ne connurent pendant plusieurs siecles, d'autres moyens