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Olympiades, lesquelles comprenuent Lespaee do quatre ans chacune⸗
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Toutes les circonstances quon vieutt ducaqguer, conconrurent
ever les Grecs au-deébſtis de tous leurs contemporains, dans ce
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qui regarde Laisauco, la politésse des manieres, la culture d'esprit
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emiers matres
les ciences; si les wêemes Grecs sout de
dans loes beaux arts, sirtout dans la sculpture, et les principaux
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mo les du gout pout tous les Mges, Us en furent edevables J la
béauté de la nature, vranteé et inanlréo dont le spedtacts frappott
peotacle frap
dans cesse leurs yenxt Iyſa peu de pays aussi riches que la GErdeoe
en sitos pittoresques et romantiques; n'y en a aucun peut· otre
gue en belles formes, dans les deuſ
on la naturo soit plis prot
soxos, surtout dans colai auquél elle a couſfis plus particulierement
la eonservation de Pespece. Une religion pure ment densuelle, qut
de continuel les facultés inte eres de Vame-
uent dans un exe
ux
econde extrẽmement le Aoppement et Ja perfection des bea
aris. Aussi voy ons-nous ches les Grets la pot ſiĩe, la sculpture la
peinture toujours oecupees des exploits de Leurs dieux et de leur⸗
héros. Sous ce rapport la culture des Grecs atteignit le plus haut
période, vñ que daus anoun ters et chez aucun autre peuple vue
onstances favorablet le
gest rcuni autaut de àla pertection
Vart, que daus FPépoqulo do la libhérté grecque.
Mais si nous tourrons nos regards sur Ies facultés zuperisures
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de besprit, et sur les sciences proprement dires, qui en sont le
efoctuense
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domaine, uous trouvons la culture des Greces très-
imparfaite. IIs ont eres la plupart des sciendes, il est vrai, en pat