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II.
LDe ese u monde connu. Les des
) Les Sαν leν Celtes, les Cimmériens.
— ait connu très- anciennoment les trégors que la na-
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hare à prodignẽs aux Indes Orientales, nous savons fort peu de létat
de oe pays et de ses habitants, Tépoque d
ut il est question ici;
de peu se réduit à la simple donnée, que Dariris Hystas pe a incor-⸗
Pors à la Perse ume partis des Imdes qu'il avoĩt conquise, quꝰ
J subjugus ume plus grande partie, quiy après sa
mort a passs sous la domination des Parthes. On débite bien des
dontes sur la philosophie des Indiens et de ses professeurs, qui
alldlent tout⸗ nuds, dit on- et vivoient dans les bois; maie ou a Leu
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de croire, que cetto philosopllie tant vantée sest rédnite à des
rove dastrologie et de divination ét quelques prinéipes de
morale.
as commengons cependant à voir plus clair dans LHhistotre
de la Chine de ce tems; pretive que ce pays avoit fait des progeds
dang Ia civilisation; cette supposition est contirmée par quelques⸗
lune de ſos moralistes, parmi lesquels Confucius tient sans contre-
dit le premier rang. Ce législatetir/ qui vecht vers Fan du monde
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er qnũ par cons“queiit erdit contempornain de Boctate, est u
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