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wal dont les peuples ne zessentent que trop les malloureue
eſffets
Le sénat romain suivit consſstamment
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aoptés;
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les principes qu'il avoit
et le peuple resta ſideèle à la simplicité des moeurs, à la
alitẽ et àla tempérance, ve⸗tus qui jointes 41
a valeur, le ren-
dixent in
stible et de plus vainqueur et metre de la terro. Gest
iusi, que les Romains, outre les pays deéſà nommés, conquirent
anolon empire deAbsyrie et le nonvel empire de Macédoine;
Wres trois guerres longues et sanglantes, ils rédnisirent Carthage
(en 3838) et en tirdrent une honible veus
ande, en réduisant
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ett ille en cendres, Tel fut aussi le
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sort de Numance, ville
Pagne, dont la prise valut aux Romains la possession de pres⸗
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Me tout le pays, quoique leur domination n'y fat
consolidée
M'aprds]
e meurtre de Sertorius. La Giece et PPgvypte devinrent
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he proie facie pour ces conqusrants; pen apros ils subjuguerent la
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la Gaulo, la Palmatie, la Numidie; les Teu-
ons souls leur opposerent une longue et vigoureuse résistance.
Ce ne fut qu'après la seconde guerre punique que les Ro-
Ans abandonndrent la simplicité des moeurs de leurs ancetres,
de
chang
lang
oment fut plus sensible apres la prise de Syracuse, ville
Walente et luxurieuse, et après la rédnetion de l Grèee. Enfin, si
* adoptant le hxe de LAsie et la politesse des Grecs, les Romains
ladrent et se civilisrent, en revanche ils se corrompirent et
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depraxerent, en se plongeant, dans les döbauches les plus insensées