Nvement des Sabines
Doe six rois qui regnerent après
dernier de ces rois,
du dorps que Rome dut son aggraudi
moeurs, à la tempérance, à la frug
—
teroient ils de ſgurer dans ce tableau.
mais presque tous chercherent à Fétendre par des conquétes. 1
Heus, les Véyens, les Samnites, les Gaulois,
forde physique ot la discipline, je veux dire,
de la patrie qui s'est montré souvent dans le p
P J F
attire jusqu'à Padmiration des peuples qui, servilement courbẽs
Pour mienx d
sement, ce fut bi
lité, au civis
——
prindipal de leur noble politique. Si, (souvent par hazard) ils
mavoient conconru à éclairer et à policex le monde, à peine méri-
zignor la ve;
ritable trempe du caractère romain, je vous ai fait représenter Pen
— ——
Romulus, qnelques-uns fi
rent des institutlons sages, propres à consolider un état naiggant-
Le
arquin, surnommeé le ſsuperbe, se reudit sũi
—J—
odieux par l'abus de Fautorité royale, qu'on le détrôna, et qu'on
introduisit ce gouvernement républieain, pondanut lequel Rome-
ayant fait des gzuerres, presque tonjours heureuses, contre les Ptrus
Tarontins, s'éleva
cetts puissance reodoutable, qui ſit trembler tout Punivers.
faut en convenir cependant; de ne fut pas à la seule force
3
plus 4
Fordre oet à la rogularité introduite dans le gouvernement, à la per⸗
fection de la discipline, et à des qualités plus précieuses que la
la simplicito des
nme, oui — je le ro
pete, mes enfants — ce fut à lesprit civique et au patxiotisme de
ses citoyens que Rome fut redevable de sa grandeur. Cet amour
Aus brillant éclat-