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eés et ges ressouxrdes rogẽnéroces, elle avanco à. pas rodoublss dans
la carrieère de la civilisation ét de la perfection morale.
Sous les successeurs de Oyrus laberse éprouva le sort de tous
s états, 6lancdéss brusquement à une certaine hauteur, qui nꝰest
broportionnée ni àa
eurs moeur i la mesure de] id
e 8 oeurs, la méesure leurs lumie-⸗
res.
La uation persanne, avec ses chels, se plongea dans le luxo
et dans la débauche; par Iàa elle prͤpara sa ruine, sans avoir ——
bérs, d'une maniere distinguée, aux progreès de la oulture, au
berfectionnement de Pespece humaine,
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Les Juifs obtinrent de Cyrus la permission de rétourner dans
patrie et de xr6tablir Jeur état ous . souveraineté de la
—r
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erse; mais un petit nombe proſita de cette Pernο— touté—
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As ayant appris à connoitre de près, pendant leur
o
daptivitẽ,
Xravagance et la déraison de bidélatrie, ces Juifs, rendus à leur
Yers, resterent plus ſidelement attacheés aux idées pures de Molse sur
a religion. que ne FPavoient été leurs anoêtres; et quoiquo leur état
ne pũt jamais se relever de son abaissement, le malheur eot lLoppreg⸗
d —
on même avoient étée pour eux une scole de sagesse.
4.
Nai rõömarqué dans la pẽriodse précõdente que plusieurs états
oIla Greco ayant conquis la liberté, avoient introduit chez éeue un
ouyernement républicain; cet exemple fut suivi dans la psexriode