les hommes occupés à la cuisine, au foyer, àla quenouille. Les au-
teurs gréeces nous citent oucore plus ieurs trarts ens qui
ne leur font point honneur. IUs le la un at⸗
les hommes occupés à la cuisine, au foyer, àla quenouille. Les au-
teurs gréeces nous citent oucore plus ieurs trarts ens qui
ne leur font point honneur. IUs le la un at⸗
Le roi lui-même setoit sujet à de jugement, dont les arrots étoie
a
svocables et sans appel. Croyez-vous mes chers pe oteurs,
que ce jugement influât eſſcacement sur la moralité publique? Si
yptiens, et le prix im
vous consultez les idéîrs des Be ꝛnse quꝰils
attachoient à une séepulture honnéôte, la réponse à cette question
ne pourra guères vous embarrasser. Une autre particularité dans
les moeurs des Egyptiens 'observe dans les rapports mutuels des
deux sexés; par une bizarrerie inconcevable hommo au dé-
hors ot au dedans de la maison avoit moins d'autoriré
femme; celle-⸗ci étoit chaxgéês de toutes les affaires qui
8 —
Servées à 1* * 10 ———
réseorvées à L'homme, telles que le comméêrce et
FPhomme de celles qui sont du ressort de la femwe, p. e. de tous
9
les soins du ménage. Par une suite de ce renversement de loxdre
naturel on voyoit les femmes au marehé, der
tachewent superstieux aux préjugés transmis paa leurs aleux, le
aire envers les
mopris de la elasse des patres, une crunuté sa
ui étoient Vobjet de leur
adorateurs d'autres aümaux que cer
culte; plusieurs autres absurdités, et mome des horreurs qui les
rendent exécrabl
Hne faut pas oublier cependant, que toutes ces imputations
4 —
leur sont faites pax des auteurs grécs, qui pro ablément n'appuy