objets, un genre do maniement dont la connoissance ne pouvroit
être due quꝰà uno attontion guidée par Lexꝑ.
rience, à une observa-
tion suivie de la nature et de ses forces. Mais on a tout lieu de
croixe, que le commeroe des Assyriens aura embrassé bien d'antres
objets, jo venx dire des productions de Vart et de l'industrie qui
redoublent la valeur de celles de la nature, p- o. des 6toffes de
soie et de lin, des vases de terre, des onvrages d'orfèvrerio; et
quelquimparfaits qu'aient été vraisemblablement ces duvrages, il
a fallu encore des outils, des mé
iers et quelques autres secours,
sans lesquels il seroit imposible de les fabriquer.
I paroit de tout cola que loin de auivre machinalement les
premidros occupations, après avoir réſlechi sur la méthode, on
les aura étendues, perfectionnées, diversifiées, enſin qu'on sera
avanes à plusieurs égards dans la carrière des connoissances et de
la cultuxe, quoiqu'il soit inconteſstablo, qu'on y a rétrogradé dans
d'autres d'une maniere inexousable.
—
Ce fut surtout le cas de la religion et du culto, et des actes
de dévotion, qui avoiont dégénéré infiniment de leur pureté et
simplicité primitivos, ayant été surchargés d'un tas de cérémonies
arbitraires et de pratiques superstitieuses. V paroit incroyable,
sans doute, que l'hommeé, après, avoir connu et aimé la verito,
puisse se livrer de nouveau aux orreurs les plus grossièxes, chan-
ger Padoration du seul vrai dien contre cello de créatures, et