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genrichir. Deabored Us ve ſirent pas mieux que los Espagnols; en- 
ſn les Auglois commencerent à ivre des maximes plus sages et 
pPlus humaines; Us cheroherent à ðenrichir par un commeree pai- 
ible et amical avec les natifs du pays; pour cet effet ils fonderent. 
ans VPAmérique septentrionale, des dolonies, qui ſinirent par so 
détacher de la meétropole. C'est à dette occas ĩiou queo plusiours 
Americains, tels que Franklin et Washington, se sont signalos et 
par leur patriotisme et par des vertus républicaines. NéÂbnmoins 
Lette xépublĩque naissante ne paroiĩt pas trop prospérerx; on y voit 
déja regner uno dopravation des moeurs, un luxe, un esprit de 
faction, qui no font pas bien augurer de son avenir; et qui, joints 
la vacillation dans les princeipes des pouvoirs constitués, menacent 
eol élat federatif d'une dissolution plus ou moins prochaino. 
parmi les découvertes rédentes des Anglois, dans la mer du 
Sud les isles de Sociéts méritent une mention particuliero puis· 
de leurs habitants, rétmnis en ſtats policés, à lépoque, ou les 
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Anglois aborderent chez eux, avoiont déja passé par les premiers 
dogres de civilisation·