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Portée de tous les hLommes, devoit prẽsenter des instruotions simples, 
elaires et faciles àsaisir, exprimées en partie par des images et 
Par des symboles. 
Les disciples de Jésus-Chriſt, qui par la même raison se 
dervirent daus leur enseignement de ſignres et d'embleẽmes, répan- 
dirent la doctrine de leur maitre dans tout hempire romain, oà ils 
trouverent, en genéral, un accueil assez favorable, parceque le 
beoin un ceult⸗ plus pur étoit généralement senti, et que les 
eebhrĩts 6claires par les sciences en éctoient susceptibles. Les obsta· 
Aes 
que les magistrats et les prêtres opposerent àla nouvelle réli- 
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dion, servirent plas à la propager qu'â Fétouffer; et domme les in- 
ructions de J. Ch. présentoient non sealement des idées plus ju⸗ 
tes, sur dieu et va volouté, sur les devoirs civils et sociaux, mais 
des moufs plus puissants pour les pratiquer, les Chrôtiens ne tar- 
Ar —— * — 
crent pas à se distinguer des Juifs et des paltens par la pureté de 
leur 
eurs moeurs. 
Malgré cela les magistrats, déterminés par des raisons poli- 
v y J — — 
Mes à maãĩntenir lancien culte, et se convaincant lentement de 
cellence de la doctrins chrétienne, employdrent touto sorte de 
woyens en partie violents et cruels, pour en arréter la propaga- 
— Mais comme il ny a de foree au monde, capable de traver- 
er les plans que Péternel a conous pour le salut des hommes, ces 
berséentions mmos tournerent à FPavantage de la réligion divine de 
erug 
hbrist; déijt 31 — — F — idele 
arist; déjàa dèes le commendement du quatriéêèmo sieole la