lus hu moius marqué de létat de brutalité et de pure anima—
J
ité, à celui ou omme eonmence à — — ses faeultés
lus hu moius marqué de létat de brutalité et de pure anima—
J
ité, à celui ou omme eonmence à — — ses faeultés
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heſſet, que ces causes ouvoient produure, Hahoit quelque⸗
ſois anticiper sux Vhistoire dun peupe, et d'autres fois, lors-
ents qui tiennent à ces
quil sagissoit d'expliquer des, éeyenen
causes, 9* loit hécessaine de re rro rev a ———— ci. M xésults
—⸗ de Ià quelques répetitions, et quelques longeurs,
que ai cherchè à éviter cependaut à mésure qué mon récit
approche des siècles modernes.
U west pas hors de propos de m ex pliguer sur les sens
que jattache au mot de culure, appliqué à Plhommée; ex⸗
presſion qu'on rencontrera souvent dans le cous de cet
ouvrage. Ventends par Ià le passage plus ou moins lent,
intellectuelles et morales daus les apports plus ou moins
compliqués de la vie 80cle. — qu'on appelte progrès des
luméêéres, perſechonnemen des sciences et des arts, éccreice
de toute facullèẽ en généralt, fait sans doute partie de lLa cul-
ture; mais aucune de cos exXpressions ée saurot rendre ex-
æciement les sens de cette der ——
Recevez maintenant, jeunes lecteurs, les adieux dum
ami qui voudroit consacret toute sa vie à votre bien. Mais,
E out danus e monde a sa mes uré, mos efſorts attront
leux terme. Ma santé
rrétexa bientol peut-Stre dans me riore.
Mais, en cessant de travailler pour vous j'aurai la consolation
de vivre encore dans votre souvéenix, jusqu'au eut qui
nous réamira dans les scjotr de tous les amis de la vexité et
de la vertu.
alloi blie par des Pines et des
— 000O0——