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domweattre, comme btant d'autres conquérants, des actes d'une
druauté atroce. —
D'ahord, aymt détrôné son grand · pere· il empara du vro⸗
yanme de Médie réduisit celni de Habylone, conquit la Ty die,
subjugua PEgypte, et se rondit en peti de en sonverain absolade
toute PAsio occidcatale et méeridionale jusquꝰaI Tude. Iae zupplice
oruel, auquel il ccndamna Orésus, roi de Lydio attestde ga krodite
itore ben e reprẽsentation ꝓlus sensible (Table N.
kzgz. 14. Rsi non d cet é6&Gard, du moins comme héxemple frappant
duns délivranee inattendue· Cette délivrance, dont vos parents
et vos prcepteurs voudront bien vonus eonter des details, prouve
usqu'à Pévidence, que la voix-de la sagesse et celle de la con⸗
deienee font des impressions profondes mômo sur une ame dure et
un coeur farouche. Revenons à Cyrus. Sans repos et sans relae he
de prinde poursnivit Ie cours de ses conqutes; ilb médita de subju⸗
Zuer aussi les Massagetes, mais c'est dans la guerre avec ee penple
quil ouva la mort soit ſsur le champ de bataille, soĩt par Vordre
F Tomyris; reine de Massagdtes, qui, chaproes une antre tradition
ayant fait prisonnier, le fſit decapiter et plongea sa toto dans un
v — —
Se rempli de ſang; on pronontant ces paroles memorablés: Va,
tyr * ai
Nan, étanche la soif qui te daworo. En supposant méme ce trait
la —
buleux, il peint toujours la fin rerrible de plusieurs conquérants
et * — 544
leu caractèræa; j'y ai dono destiné une grayure enluminée (Table
fi
83. 15.)
ſaus doute Cyrus doit être mis au nombre, si non des