La possie seule se montre sous une face plits brillante, la
aison en est bien simple et bien factle à Ueviner. Cet art n'a gud⸗
La possie seule se montre sous une face plits brillante, la
aison en est bien simple et bien factle à Ueviner. Cet art n'a gud⸗
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de la psyohologie. Ta derniere sonpgonnoit la v6xrito quĩl y a
dans la nature humaine un princdipe spiritueb,; éesſentis Hement dis-
unet deo la watidre; mais elle fondoit sur ces conjeetiires les cortse
quenceos les plus étranges, d'ou est nué le dogme de la transmigra⸗
tion des ames ou de la métompsycose, opinion presque géenérale⸗
ment adoptée daus ces toms.
La géographie no prsentoit qu un tisſsu didéees donfuses suf
la terre et ses diſfsrontes partiss. Du tems d'Homêro, et jusquꝰa
Vepoque des guerres contre la Pexse, on seo roprosentoit le continent
comme un cerele qui entouroit la méditerranss, dont on ne connois⸗
soit les parages éloignés que par des traditious. fabnleuses. La
voũte du ciel, selon Popinion puérilse de ces tems, étoit soutenuẽ
par de hautes montagnes, placces aux extrémités de la terre⸗
Sans doute les Phéniciens et leurs compatriotes les Carthaginois-
ont du avoir des notions géographiques plus justes ot plus étendues
mais pour conserver leur monopole, ils eurent soin de dénaturer⸗
par les fables les plus absurdes, la vraie situation et les qualitẽs
physiques des pays ocoidentaux quils frequentolent, de peindre
avec des couleurs si sombres éet si effrayantes les dangers atte
chés à cette navigation, que les Grees, méême des tems postrieurs⸗
ne sð réesolurent que diſſicilement à la tenter.
res besoin d'idées générales; fondé en grapde partie sur le senti⸗
ment, en le peignant ſfiddlement il rewplit agsez sa dẽs tinatio